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 "Un peuple fort n'a pas besoin d'un homme fort"

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Sylvain Fontaine Président

J’ai 55 ans, suis marié et père de 2 enfants.

Avant de rencontrer l’UPR, je n’avais jamais adhéré à aucun parti politique,

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Cadre supérieur de la SNCF depuis 18 ans, les responsabilités de président de l’UPR ne m’impressionnent pas :

 

J’ai été directeur d’établissement de maintenance d’infrastructures ferroviaires en Picardie, en tant que premier responsable de la sécurité ferroviaire sur un périmètre départemental, j’ai présidé des réunions de représentants de syndicats de cheminots (CGT, CFDT et UNSA) et des CHSCT, géré des millions d’argent public.

Je suis entré en politique par la culture (musique, cinéma, voyages et langues) et le goût de la diversité: frappé de la prédominance de la culture anglo-saxonne en France et à l’international, j’ai compris que, venue des Etats-unis d’Amérique, elle n’était pas une fatalité mais une volonté d’hégémonie qui tuera à long terme toutes les autres civilisations.

 

Par la suite mon passage à la Direction de la Stratégie de la SNCF en 2001 (j’y travaille depuis fin 1993) m’a permis de réaliser notre soumission à l’Union Européenne dans le transport public ferroviaire d’abord, puis très vite, par analogie, dans tous les domaines. La trahison de nos soi-disant représentants à l’Assemblée lors de leur validation du traité de Lisbonne début 2008 m’a mis en colère et confirmé que nous vivions dans une mascarade de démocratie.

 

Aussi, après avoir lu la charte de l’UPR, séduit par sa devise, j’ai décidé en 2016 que le moment était venu de m’engager concrètement. Depuis 2016, j’ai participé à la vie de la délégation départementale de Gironde et toutes les campagnes de l’UPR, jusqu’à la campagne des européennes.

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C’est lors de cette campagne, en 2019, que j’ai été frappé par l’absence totale de démocratie au sein de l’UPR. J’ai commencé à prendre de la distance avec ce parti qui s’avérait fasciste à bien des égards. La crise qui a éclaté par la lettre du 18 avril a confirmé le diagnostic que j’établissais peu à peu depuis mon adhésion. Ne pouvant me résoudre à accepter l’échec de notre cause, j’ai alors décidé de prendre le taureau par les cornes en lançant mon appel du 2 mai.

 

J’aime la liberté, je refuse la supériorité de quiconque par rapport à moi et réciproquement. Mais parce que je suis social, j’admets la supériorité du collectif sur l’individu, à condition évidemment que ce collectif soit respectueux de ceux qui le composent.

 

Toujours par goût de la liberté, je déteste le mensonge et suis attaché à la cohérence des idées et des actes. J’exècre l’hypocrisie. Je mettrai tout en œuvre pour que la concorde et l’esprit de la démocratie insuffle désormais l’action de l’UPR et que tous ceux qui désirent s’y investir s’y sentent écoutés et valorisés.

 

Parce que je l'expérimente chaque jour dans ma vie professionnelle, je suis certain d'une chose : ensemble nous pouvons aller très loin.

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